After the end & New Beginning.
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 Jennsen T.

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Jennsen Taylor
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Jennsen Taylor


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MessageSujet: Jennsen T.   Jennsen T. Icon_minitimeMer 7 Jan - 0:39

    NOM : TAYLOR
    PRÉNOM(S) : JENNSEN DAWN
    SURNOMS(S) : JENNY, JENN'
    DATE & LIEU DE NAISSANCE : 23 DECEMBRE 1992 A NEW YORK
    ESPÈCE : HUMAINE
    PROFESSION DE VOTRE PERSONNAGE : LYCEENNE & SERVEUSE DANS LE FAST FOOD DE FORKS



AIME :
- Le chocolat
- Les sacs
- Les chaussures
- La pluie
- La neige
- Chanter
- Parler
- Rire
- S’amuser
- Apprendre
- Manger
- Lire
- Voyager
- Le grand air

N'AIME PAS :
- Les poireaux
- Les robes
- Les bonnets
- La grêle
- Le gel
- S’ennuyer
- Ne pas savoir quoi dire
- Ne pas savoir
- Penser aux choses désagréables
- Regarder la télé
- Se taire
- Remplir des vœux d’orientation
- Les hôpitaux

SITUATION FAMILIALE :
Le père de Jennsen est mort d’une crise cardiaque et son frère à mystérieusement disparut, la police au bout de son enquête, qui n’a donné aucun résultat, à finit par le déclarer mort. Sa mère, suite à ces évènements, a été internée dans la partie psychiatrique de l’un des hôpitaux de New York. Jennsen vit maintenant chez sa grand-mère maternelle qui habite à Forks.


DESCRIPTION PHYSIQUE :
Jennsen a toujours un grand sourire heureux affiché sur le visage, ses yeux verts pétillent toujours d’une étincelle de joie. Ses yeux sont toujours étonnement expressif, si l’on regarde bien, on peut discerner des choses dans son regard qu’elle n’avouera jamais. Par moment, quand toute joie à déserté son visage on peut aisément voir une lueur d’inquiétude dans ses prunelles. Cependant, pour que son moral soit assez bas pour en arriver là, il devait obligatoirement se passer quelque chose de très grave. Mais la plupart de temps, elle rit et ce n’est pas de l’inquiétude que l’on peut distinguer sur ses traits. D’agréables fossettes ont tendance à se glisser sur son visage et il arrive que son nez se fronce légèrement lorsqu’elle rit. Sachant que la jeune femme est toujours de bonne humeur, on pourrait en déduire que sa couleur de cheveux lui va plutôt bien. Elle est blonde mais pas platine, blond d’une façon à rappeler la chaleur du soleil. Chose qui manque cruellement à Forks. Ses cheveux bouclent à partir de ses épaules jusqu’à ses coudes, là où ils s’arrêtent. Jennsen préfère les laisser lâchés car comme ils sont assez épais, elle trouve qu’ils protègent très bien ses oreilles du froid. Comme cela, elle n’a pas besoin de porter des bonnets qu’elle trouve ridicules sur quiconque et qu’elle déteste passablement. Il y a certains autres vêtements qu’elle déteste presque autant que les bonnets, les robes par exemple. Il ne lui viendrait jamais à l’esprit d’en mettre une. Trouvant qu’elle a peau trop blanche pour que ça lui aille bien, même avec des collants, n’importe qui remarque qu’elle a une peau aussi pâle qu’un cachet d’aspirine. De plus, les pantalons sont, à son avis, nettement plus pratiques et plus confortables. Seuls vêtement qu’elle peut porter et qui montre sa peau son des tee-shirts. En plein été, elle ne va pas commencer à mettre des pulls à col roulé, elle aurait l’air complètement stupide. Question chaussure, elle porte souvent des converses car elle adore ça. Cela dit, elle adore s’acheter des nouvelles paires de chaussures et elle en a plein son placard… Cela ne veut pas forcement dire qu’elle les mets toutes. De toute façon, avec des pieds comme les siens, il lui est impossible de porter n’importe quelle paire de chaussure. Ses pieds sont aussi fins que le reste de son corps ce qui limite son choix au niveau des chaussures mais également au niveau des vêtements. Effectivement, Jennsen est mince et qu’importe ce qu’elle mange comme cochonneries, elle le reste. Bref, étant très mince et pas très grande, se trouver des vêtements peut devenir très vite mission impossible… A moins de connaitre une bonne couturière capable de retoucher tout ça.


DESCRIPTION CARACTÉRIELLE :
La première chose que l’on peut remarquer chez Jennsen c’est sa bonne humeur quotidienne malgré le nombre de tuiles qui peuvent lui tomber dessus durant la journée. Pour elle, tout est toujours beau et parfait tant qu’on est en bonne santé et qu’on n’est pas obligée de rester allongé dans un lit d’hôpital, a regarder les docteurs passer et repasser. Donc, maintenant qu’elle est à Forks, entouré par la forêt et loin de son habituel hôpital, elle est plus heureuse que jamais. Et puisqu’elle s’estime heureuse, elle ne va pas commencer à se plaindre. On ne la verra jamais se plaindre de quoi que ça soit à quiconque, on ne la verra jamais pleurer pour elle-même ni s’apitoyer sur son sort. Quand elle est triste, c’est forcement pour quelqu’un d’autre, elle n’aime pas voir les gens autour d’elle souffrir. Elle ne peut pas passer devant un clochard sans lui donner de quoi acheter un sandwich, et elle ne se doute pas une seule seconde, que cet argent pourrait servir à autre chose qu’à ça. La jolie blonde qu’elle est, joue très bien le rôle qu’on lui attribue d’office par moment, elle peut être incroyablement naïve et crédule. N’ayant pas pour habitude de sortir de son hôpital, d’avoir des amis, ni de rencontrer des gens, elle a tendance à toujours penser que personne n’est capable de faire autre chose que ce qu’il est censé faire. Pour elle, tout le monde est incroyablement gentil et s’il s’est mal comporté une fois c’est juste parce qu’il devait avoir eu une mauvaise journée. Il ne pouvait pas avoir quelque chose contre elle, on devait obligatoirement s’aimer les uns les autres et s’entraider. C’est obligatoirement comme ça que marche le monde, non ? Cela dit, ce genre de surprise arrive rarement car Jennsen se fait des amis très facilement et en règle générale tout le monde l’apprécie, elle et son optimisme communicatif. Autre trait de caractère qui peut être autant un défaut qu’une qualité, la jeune femme parle beaucoup et tout le temps. Son petit boulot de serveuse lui plait beaucoup parce qu’elle peut se permettre de faire des grands sourire à tout le monde sans avoir de raison apparente et sans que cela ne paraisse étrange. Elle peut également bavasser un peu avec les jeunes qui viennent. Jennsen a en effet un certains talent pour trouver quelles choses plaisent à telle personne, elle peut donc parler avec n’importe qui de son sujet favoris sans le connaitre véritablement pour autant. C’est sans doute grâce à ça qu’elle arrive aussi facilement à avoir des amis. Bien entendu, cette qualité peut se transformer en défaut horripilant qui peut également expliquer pourquoi, personne n’aime être assis à côté d’elle en cours. Ce n’est pas qu’elle st désagréable au contraire, mais quand elle est lancée, elle peut parler pendant des heures. Si bien que lors d’un cours, cela peut être un peu dérangeant pour écouter le professeur. Un autre défaut qui peut paraitre incroyablement irritant, c’est sa capacité à desseller ce qu’on ne veut pas lui dire ou que l’on cache. Elle a prit la mauvaise habitude de sonder les gens à fur et à mesure du temps, pour mieux les comprendre et finalement interpréter chacun de leurs mots et chacun de leurs gestes. Jennsen utilisait fréquemment cette méthode avec les internes qui passaient dans l’hôpital, elle faisait ami-ami avec eux et de cette façon, elle pouvait savoir s’ils disaient la vérité sur son véritable état de santé… Ce qui arrivait bien évidemment assez souvent. Elle pouvait être naïve, mais il y a des limites à tout n’est-ce pas. Dans certains domaines, elle peut ne pas être si crédule qu’elle peut en avoir l’air. A partir du moment où elle à décrété que quelqu’un ne lui disait pas la vérité ou lui en cachait une partie, elle était toujours convaincue qu’elle avait raison. Même si il se révélait avec le temps qu’elle était complètement à côté de la plaque, elle maintiendra quand même qu’elle aurait pu avoir raison. Pour elle, il y avait deux règles essentielles : la première, elle a toujours raison, même quand elle a tors. Et la deuxième, si elle a tort, il faut se référer à la régle numéro un. Enfin, il arrivait que par moment elle reconnaisse qu’elle s’était trompée, car malgré sa blondeur, elle était très intelligente et elle était bien obligée de dire qu’elle avait tort pour sauver le salut de son intelligence. Cette intelligence se retrouvait également dans son travail scolaire, n’ayant jamais été à l’école avant ça, elle avait réussit à rattraper son retard en un temps record et était devenue bien vite une des meilleures élèves de sa classe.



AUTRES :



    CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR : HAYDEN PANETTIERE
    COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? : PAR UN TOP SITE.
    Spoiler:


Dernière édition par Jennsen Taylor le Dim 18 Jan - 20:14, édité 5 fois
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Jennsen Taylor
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MessageSujet: Re: Jennsen T.   Jennsen T. Icon_minitimeMer 7 Jan - 23:21

HISTOIRE DE VOTRE PERSONNAGE :
La famille Taylor était grande, riche et puissante. Chaque membre de la famille avait facilement plusieurs maisons de vacances et les enfants de la famille fréquentaient tous les mêmes établissements scolaires affreusement chers, depuis des générations. En février, tout le monde était à Aspen pour faire du ski et chaque été, tout le monde allait en Europe dans le manoir familial, situé en Angleterre, des Taylor. Cependant, il arrivait fréquemment que la famille se réunisse à Manhattan pour Noël car les professions de Matthew Taylor et de sa femme Lauren ne permettaient pas de s’éloigner trop de leur lieu de travail. Bien entendu, même si beaucoup s’en plaignaient à haute voix, chaque membre de la famille était très heureux que le petit Matthew soit devenu chirurgien, qui plus est, l’un des plus côtés et des mieux payés des Etats-Unis. Sa femme n’était pas au goût de tout le monde, mais personne ne pouvait lui reprocher d’être bête et de manquer de bonnes manières. Le reste de la famille l’avait plus ou moins acceptée dans la famille. De toute façon, Matthew leur avait fait comprendre qu’ils n’avaient pas vraiment le choix. Lauren et Matthew s’étaient rencontrés à la fac mais avaient fait leur internat de médecine dans des hôpitaux différents. Lauren avait décidé de repartir dans le Massachusetts tandis que Matthew était resté à New York. Le jour où Lauren reçut une offre de la part d’un des hôpitaux de New York qu’elle ne pouvait pas refuser, elle fit ses valises et partit s’installer dans la ville où elle avait fait ses études. Le hasard faisant bien les choses, Lauren et Matthew se retrouvèrent collègues dans le même hôpital. C’est alors que leur relation commença… Pour finir dans un immense appartement de Manhattan avec un mariage en prévision. Quelques années après ce fameux mariage qui avait fait tant de bruit chez les Taylor, Lauren tomba enceinte et accoucha au bout de neuf mois d’un petit garçon. Ses parents le nommèrent Andrew. Andrew grandit donc dans cet immense appartement avec en règle générale, pour seule compagnie, la bonne et nourrice. Ses parents n’étant pas très présents à cause de leur métier, ils laissaient leur progéniture aux bons soins de leur domestique. Déborah s’occupa donc de Matthew pendant un certain temps et de temps en temps, Andrew fut autorisé à aller voir ses parents en train de travailler. Le petit garçon était très fier de ses parents, Deborah lui avait dit qu’ils passaient leur journée, et parfois leur nuit, à sauver des gens. Cependant, même en étant très fier d’eux, il ne pouvait s’empêcher de penser qu’ils devraient être là plus souvent… Par exemple, le jour de son anniversaire. Il fut donc très heureux, à l’inverse de beaucoup d’enfants, que sa mère tombe enceinte une deuxième fois. Parce qu’elle ne pouvait pas aller à l’hôpital opérer des gens avec un gros ventre, du coup, elle restait à la maison et elle s’occupait de son fils. C’est alors qu’elle remarqua la formidable intelligence de son fils. Il comprenait tout sans qu’on ait besoin de lui expliquer plusieurs fois, il savait déjà lire et compter sans avoir déjà été à l’école. Deborah affirma qu’elle n’y était pour rien, Andrew était donc véritablement très intelligent… Lauren s’en félicita, il réussira dans la vie comme elle avait réussit et comme Matthew avait réussit. Quelques mois plus tard, naquit une petite fille. Elle était aussi blonde que son frère était brun et beaucoup plus bruyante qu’il ne l’avait jamais été. Dès la naissance, ils étaient singulièrement différents et pourtant, Andrew adorait sa sœur et vu la sourire du bébé, elle devait bien l’aimer également. Ce fut même lui qui lui trouva son nom : Jennsen… Quelques années plus tard, malgré la différence d’âge entre eux, les deux frères et sœurs s’entendaient à merveille. Quelqu’un qui les croiserait dans la rue, ne penserait même pas une seule seconde à l’éventualité qu’ils soient frère et sœur tellement ils étaient différents physiquement. Et ces différences ne s’arrêtaient pas au physique, même leur caractère ne se ressemblaient absolument pas… Sauf peut être l’intelligence, Jennsen était aussi intelligente que son frère. Malheureusement, la petite fille ne put jamais se servir de son intellect. Dans l’année de ses cinq ans, quand la bonne entra dans sa chambre un matin pour la réveiller, elle parla à haute voix, ouvrit les rideaux, lui caressa la joue… Rien n’y faisait, Jennsen restait endormie. Paniquée, Déborah appela le 911 et une ambulance arriva chez les Taylor pour emmener la petite fille à l’hôpital. Les médecins déclarèrent qu’elle était tombée dans le coma. Ils ajoutèrent, même au grand désespoir des Taylor, que ce n’était habituellement pas un coma dont on se réveille. Toute la famille se retrouva donc à New York à l’hôpital dès le lendemain. Ils avaient pris le premier avion, écourtés leurs éventuelles vacances et tous se retrouvèrent dans l’hôpital où dormait profondément la petite fille. Une semaine passe, les médecins n’avaient toujours rien trouvés malgré les nombreux examens effectués, cela n’empêcha pas le miracle de se produire. Jennsen se réveilla. Elle semblait tout simplement s’être réveillée après une bonne nuit de sommeil, aucune séquelle, tout semblait normal… Les médecins et ses parents, bien que soulagés, ne comprenaient absolument pas ce qui avait pu se passer. L’enfant du rester à l’hôpital en observation pendant un petit moment mais cela ne la dérangeait pas le moins du monde car c’était les vacances et son frères restait donc avec elle. Ils s’amusaient aussi bien qu’à la maison et elle ne voyait pas tellement ce qu’il y avait d’embêtant à rester là où elle était. Cependant, elle était très heureuse de rentrer à la maison pour pouvoir manger les bons plats de Déborah, et non pas ceux de l’hôpital qui était tout simplement atroces. Malheureusement pour elle, elle du retourner à l’hôpital à peine fut-elle rentrée chez elle. Cette fois, ce n’était pas Deborah qui l’avait emmenée, mais ses parents qui avaient demandés des congés pour pouvoir s’occuper de leur fille. Andrew devait le reconnaitre, il était un peu jaloux, il comprenait que sa sœur avait une maladie plus grave que celles que lui pouvait avoir habituellement, mais quand il était malade, ses parents ne restaient pas plus longtemps à la maison pour autant. Mais il ne dit rien, il était trop inquiet pour sa jeune sœur. Elle n’était pas dans le coma cette fois-ci, elle avait juste très mal à la tête… Andrew se dit qu’elle devait vraiment avoir mal pour pleurer et crier comme elle le faisait. Les médecins après de nouveaux examens déclarèrent qu’il n’y avait rien, une fois de plus. Mais quelques jours plus tard, alors que le mal de tête de Jennsen était atténué par la morphine, une prise de sang fut prise. Tout d’abord, les médecins n‘en crurent pas leurs yeux. Puis, après une autre prise de sang confirmant le résultat de la première, ils furent bien obliger de reconnaitre que c’était obligatoirement bon, c’était dur à voir, mais c’était bien là. Dans son sang, ils avaient pu voir qu’elle était malade, mais pas d’une maladie que les gens avaient. En fait, personne ne l’avait… Les seuls qui pouvaient habituellement l’avoir étaient des nouveaux nés et en règle générale, ils mourraient à peine vingt-quatre heures plus tard. Il était rigoureusement impossible que quelqu’un atteint de cette maladie puisse vire aussi longtemps qu’avait vécu Jennsen. Ils se rendirent compte après quelques recherches que les bébés qui mourraient de cette maladies mourraient tous après être tombés dans le coma. Et ils survivaient, au grand maximum, quelques heures dans cet état. Ils découvrirent également qu’aucun traitement n’avait été trouvé car c’était une maladie trop peu commune pour que la recherche rapporte quelque chose… La mort dans l’âme, ils annoncèrent à Lauren et Matthew Taylor que leur fille était condamnée. Ils lui donnèrent au grand maximum un an. C’était déjà incroyable qu’elle ait vécu aussi longtemps et c’était encore plus incroyable qu’elle se soit réveillée de son coma, il ne fallait pas attendre plus incroyable encore. D’après les médecins, c’était impossible. Lauren et Matthew, au moment où on leur communiqua ces informations, se tombèrent dans les bras. La femme larmoyait sans s’en rendre compte et faisait apparaitre des tâches humides sur la chemise de son mari qui lui, avait un air choqué, il semblait figé. C’est ainsi qu’Andrew découvrit ses parents. Sa sœur s’était endormie et ce fut presque un soulagement parce qu’elle était tellement droguée, qu’elle n’était plus très cohérente. Il était donc sortit de sa chambre estimant qu’il n’avait plus rien à y faire. Et là, il les vit, enlacés, avec des expressions de choc douloureux sur leur visage. Se servant une fois de plus son intelligence, il comprit immédiatement... Et il se dit l’instant d’après, qu’il aurait aimé être bête parfois.
Les jours qui suivirent, Jennsen ne les comprit pas. Elle vit toute sa famille en un temps record, même les arrières grands parents qu’elle n’avait jamais vu. Son frère était toujours avec elle et il ne la quittait uniquement quand ses parents le lui demandaient et quand il allait aux toilettes. Quand à ses parents… Ils la regardaient avec une tristesse infinie au point que la petite fille en venait à se demander s’ils allaient pleurer. Elle leur demanda ce qui se passait, pourquoi elle était à l’hôpital, pourquoi tout les gens qu’elle voyait avait l’air triste, pourquoi Andrew était aussi souvent là, et pourquoi eux, ils restaient là et qu’ils ne travaillaient pas. Elle n’obtient aucune réponse. Juste des semblants de sourires probablement censés la rassurer. Cela avait l’effet inverse, il se tramait quelque chose, Jennsen en était sûre, mais elle ne savait pas quoi. Ce fut son frère qui craqua environ un mois plus tard. Il lui dit qu’elle allait mourir dans peu de temps. Elle le regarda avec ses grands yeux verts et elle comprit soudain. Et elle dit à Andrew que cela ne se passerait pas comme ça, elle allait vivre, mourir, c’était pour les vieux. Et jusqu'à preuve du contraire, il y avait plus vieux qu’elle sur cette Terre. Elle dit le soir à ses parents ce qu’elle avait décidé de faire et elle fut très contrariée par leur manque d’enthousiasme. Elle venait d’avoir une idée de génie et jusque là, elle n’avait eu droit qu’à des « Comme tu es courageuse ma grande ! » de la part des infirmières. Elle n’était pas courageuse, elle n’allait juste pas mourir. Elle n’était pas vielle, elle ne pouvait donc pas mourir. C’était comme ça et les docteurs, ils n’étaient que des incapables. Elle expliqua tout ça autour d’elle, certaines personnes rirent à s’en décrocher la mâchoire et d’autre esquissèrent un rictus avant de sortir en vitesse de la chambre. Elle commençait à perdre patience quand son père ouvrit la porte, s’approcha d’elle et lui murmura des mots qu’elle n’oubliera jamais : « Je vais te guérir ma puce, je te le promets. Tu as raison, tu es trop jeune tu ne dois pas mourir. ». Enfin quelqu’un qui reconnaissait qu’elle avait raison, ce n’était pas trop tôt. Et dès le lendemain, elle regretta d’avoir dit ce qu’elle avait dit. Son père qui était là à chaque repas, et qui était là pour la border le soir, n’était plus là. Andrew ne savait pas où il était non plus. Elle ne dormit pas beaucoup cette nuit là, pas parce qu’elle avait mal à la tête, elle s’était habitué à ce mal de tête constant, elle avait peur que son père l’ait oubliée.
Le fait est qu’il ne l’avait absolument pas oubliée, loin de là. Matthew Taylor avait décidé de se servir de son cerveau et de ses longues études pour autre chose que pour opérer des gens. Il avait décidé de créer un médicament qui guérirait sa fille. Il s’enferma dans son bureau et commença à travailler. I se creusa la tête nuit et jour pour essayer de trouver ce qui pourrait marcher. Quand il avait finit un traitement, il se servait du sang de sa fille pour voir si cela avait un quelconque effet sur le virus. Comme cela ne marchait pas, il recommençait. Il ne faisait que ça, plus rien d’autre n’importer, il devait sauver sa fille. Il le lui avait promis. Il ne voyait plus sa femme, il ne savait même pas ce qu’elle devenait, il s’en inquiétait parfois, mais il se remettait vite au travail. Il prenait un peu de temps pour aller voir sa fille et Andrew dormir avant de lui-même aller se coucher. Il dormait sur le canapé du salon la plupart du temps, il ne voulait pas déranger Lauren. Quand il arrivait à l’hôpital, plus personne ne prenait le temps de le saluer, ils savaient qu’ils n’auraient pas de réponses en retour. Matthew n’en avait plus rien à faire, il devait trouver, il fallait qu’il trouve.
C’est ainsi qu’une année passa, tout était resté pareil, ou presque. Andrew était dans la classe supérieure et la famille était repartie faire ce qu’elle faisait avant que la crise Jennsen ne se déclare. Ils n’étaient bien sûr pas très loin de New York dans le cas où quelque chose de très grave se passerait. Enfin, quelque chose d’encore plus grave. Jennsen était toujours à l’hôpital, elle n’avait pas l’autorisation de sortir, son médecin c’était devenu son père : le seul docteur assez dingue pour entreprendre des recherches pour un traitement potentiel. La seule fois où elle l’avait vu c’était quand il lui avait dit qu’il la guérirait. Depuis, c’était presque devenu un fantôme. Sa mère en était presque devenue un aussi en l’absence de son mari. Jennsen ne comprenait pas pourquoi son père s’obstinait à ce point, elle guérirait. Les médecins lui avaient donnés un an, les voilà les un an. Et son état de santé n’avait pas empiré… Certes, il ne s’était pas amélioré, mais il n’avait pas empiré et c’était un point plutôt positif. La blondinette ne faisait même plus attention aux douleurs qu’elle pouvait ressentir à la tête et elle s’amusait avec son frère à faire des courses en fauteuil roulant dans l’hôpital. Le couloir jusqu’à la cafétéria était en pente, c’était donc leur terrain de jeu favori. Les femmes de ménages ne comprenaient pas comment elle pouvait être mourante alors qu’elle courrait dans les couloirs constamment, en train de faire toutes les bêtises possibles et imaginables. En compagnie de son frère, tout les deux pouvaient être calmes aussi. Jennsen n’allait pas à l’école alors son frère se débrouillait pour ramener des cours de son niveau, il lui apprit à lire, à compter… C’est ainsi que ce passe une deuxième année, comme la première… Puis une troisième, une quatrième, une cinquième… Les médecins finirent par penser qu’ils s’étaient trompés, qu’elle n’était pas malade. Malheureusement, il y avait des jours où l’on ne pouvait pas se tromper. Elle était malade et contrairement à ce qu’elle pensait et voulait, elle ne guérissait pas. Son état empirait, lentement, mais il empirait.


Dernière édition par Jennsen Taylor le Dim 18 Jan - 1:28, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Jennsen T.   Jennsen T. Icon_minitimeDim 18 Jan - 1:27

Neuf ans après la diagnostication de sa maladie, Jennsen avait alors quatorze ans et Andrew avait dix-neuf ans. Andrew était à Brown, dans l’état de Rhode Island. Dans les premiers de sa promotion, si ses parents n’étaient pas dans un état quasi fantomatique (quoique, ils étaient améliorés depuis qu’ils s’étaient rendus compte que leur fille avait survécu pendant quatorze ans) ils auraient été fiers de lui. Cette année là, il se passa quelque chose qui bouleversa le quotidien des Taylor. C’était les vacances de Noël et Andrew était rentré à New York pour voir sa sœur et accessoirement ses parents. En réalité, il venait plus pour sa mère que pour son père. Le reste de la famille ne venait plus pour Noël, ils se contentaient de téléphoner à Jennsen à minuit. Plus le temps passait, plus les Taylor commençaient à trouver Matthew détestable. Et surtout, il semblait utiliser l’argent comme si cela tombait du ciel, ce qui ne plaisait pas du tout au reste de la famille qui serait forcés de l’aider en cas de manque d’argent. Si un adjectif pouvait correspondre à la plupart des membres de la famille, cela devait être l’avarice. De plus, la plupart pensaient que Jennsen n’avait rien à faire dans un hôpital car à chaque fois qu’ils la voyaient ou qu’ils lui parlaient, elle semblait parfaitement en forme. Bref, sachant qu’il était la seule véritable compagnie de sa sœur pour Noël, Andrew décida d’aller à l’hôpital et de fêter Noël avec sa sœur, comme ils avaient l’habitude de la faire depuis des années. Après une petite coupe de champagne et un repas de Noël copieux fait par Dorotha, en souvenir du bon vieux temps (cela faisait quelques années qu’elle avait posté sa démission, elle ne pouvait plus supporter l’ambiance de la maison), l’adolescente s’endormit comme une masse, le sourire aux lèvres. Son frère lui, ne s’endormit pas tout de suite, il éteignit les lumières et s’assit sur un fauteuil dans un coin sombre de la pièce. Il attendait son père, il savait qu’il sortait de son bureau tard le soir pour voir sa fille dormir. C’était le seul moment où on pouvait lui parler, le reste du temps il était dans son bureau.Andrew se réjouit de ne pas avoir eu à attendre trop longtemps. Son père était dans la chambre quelques minutes seulement après l’extinction des feux. Le jeune homme ouvrit la bouche, ce qu’il avait à dire était préparé depuis longtemps. « - Tu comptes la garder ici encore longtemps ? Tu n’as pas besoin qu’elle reste là pour te claquemurer dans ton bureau toute la journée… Laisse-la aller à l’école, avoir des amis, une vie. » « - Andrew… Je ne peux pas, il faut qu’elle reste là, si elle attrape autre chose en plus… » « - Oh oui… Tu sais, je crois qu’elle te déteste… Elle te déteste pour ne pas la laisser sortir, car tu crois en des risques infimes qui risquent de ne jamais se produire… » « - Comment pourrait-elle penser ça ? Je reste ici nuit et jour pour la guérir ! » « - Et on peut constater le résultat… Neuf ans père, neuf ans. » « - J’y arriverais ! Je lui ai promis… » « - Tu aurais pu tout aussi bien lui promettre la Lune ! Ca fait neuf ans que tu cherches et le fameux médicament, on ne le voit pas ! Mais les conséquences de tes recherches, ça, on les voit bien ! » « - De quoi tu parles ? » « - Ouvres les yeux ! Tu as vu maman ces derniers temps, depuis que je suis à la fac, elle dépérit tout seule à la maison. Dorotha a démissionné il y a sept ans. A partir du moment où elle est partie, j’ai du faire à manger pour tout le monde et obliger maman à manger. Et toi, tu ne t’es jamais pointé à un seul de ses repas pour me soutenir. Tu te contrefiches de ce qui peut arriver au reste de la famille… Mais puisque tu t’en fiche, passons à Jennsen, ta raison de vivre. Tu sais ce qu’elle fait de ses journées ? Elle regarde par la fenêtre du hall les enfants qui reviennent de l’école avec envie. Quand des enfants viennent ici pour une appendicite, elle saute de joie parce qu’elle pourra enfin parler à quelqu’un… Elle est malheureuse. Et la faute à qui ? » « - J’aime ta sœur, j’aime ta mère et je t’aime… » « - Alors prouves-le ! » « - Je… Je dois retourner travailler… Quand ta sœur ira mieux, tout ira mieux… » « - Non, tout n’ira pas mieux, tu ne le trouveras jamais ce traitement. » « -Andrew… Tu ne comprends pas… Je vais la sauver… Tu es mon fils, tu dois me soutenir… » « - Techniquement c’est l’inverse qui doit se passer… Ce sont les parents qui soutiennent leurs enfants et qui les encouragent.Ca ne s’est jamais passé comme ça dans cette famille et j’en ai marre. Je n’en peux plus de devoir payer les factures pour éviter que maman se réveille sans qu’il y ait de chauffage. Je n’en peux plus de devoir garder le sourire dès que j’entre dans cette chambre pour faire plaisir à ma sœur. Je n’en peux plus de ne jamais voir mon père. Je jette l’éponge… » « - Que… » « - Je m’en vais. Demain tu expliqueras à Jennsen pourquoi je ne suis pas là… Tu expliqueras à maman pourquoi je ne lui ai pas fait son petit déjeuné… Au revoir.» Andrew regarda une dernière fois ça sœur et sans se préoccuper davantage de son père, il sortit de la chambre et disparut. Personne ne le revit jamais. La mère d’Andrew reçut une lettre annonçant que son fils avait arrêté ses études. Son numéro de téléphone n’était plus attribué. Son coffre à la banque avait été vidé. Andrew Taylor semblait ne pas avoir existé.
Un an après ces événements, Jennsen su enfin ce qui s’était passé. Elle avait forcé la serrure du bureau de son père, un adolescent qui était malade deux chambres plus loin lui avait appris à le faire, et elle le questionna. Lui parler lui sembla étrange, elle ne l’avait pas fait depuis environ dix ans. Elle su ce que son frère lui avait reproché et elle ne put s’empêcher d’être d’accord. Son frère avait tout compris, comme d’habitude, il avait compris ce qu’elle ressentait… Effectivement, elle avait beaucoup de mal à aimer son père. Ce n’était plus vraiment son père d’ailleurs… Lui, il l’aimait, il l’affirmait. Il lui dit aussi qu’il se battait pour elle, ses mots montraient qu’il était complètement obsédé par son médicament. Jennsen lui en voulait. Comment pouvait-on s’enfermer dans son travail en oubliant tout le reste, en oubliant la vie des autres et sa propre vie. Comment son père pouvait-il croire qu’elle était heureuse ? Comment pouvait-il penser une seule seconde qu’elle préférait être là plutôt qu’au lycée avec les gens de son âge ? « - Je te déteste… » Elle ne lui accorda pas un seul regard avant de sortir de la pièce. Si elle l’avait fait, elle aurait probablement vu son père s’effondrer. Elle pleurait, elle n’entendit rien, elle oublia de ferme la porte derrière elle. Quelques heures plus tard, on lui annonça que son père était mort d’une crise cardiaque, dans son bureau. La cause officielle de ce brusque arrêt était la fatigue… Jennsen savait que ce n’était pas ça. Il n’avait pas supporté que sa fille le déteste. Elle aurait peut être du regretter ce qui s’était passé, mais ce n’était pas vraiment le cas : son père était mort depuis longtemps.
Suite à ça, la mère de Jennsen tomba dans une profonde dépression. Elle avait perdu son fils et son mari. Et sa fille, elle allait probablement bientôt la perdre. Elle se fit internée volontairement dans le service psychiatrique de l’hôpital où elle travaillait jadis. Elle ne pouvait pas rester chez elle. Sa fille n’était jamais allée la voir, elle était partie. Elle aussi… Lauren se sentit tellement seule qu’elle pleura toutes les larmes de son corps. Et à partir du jour où elle a commencé à pleurer, elle n’avait plus arrêté.
Jennsen de son côté était effectivement partie. Le docteur avait accepté, avec un peu d’argent er de persuasion, de la laisser partir. Elle voulait aller loin de sa ville natale. Elle ne se sentait pas assez forte pour faire ce qu’elle avait envie, faire le tour du monde. Mais prendre l’avion faisait partit de ses désirs les plus chers. Elle décida donc de le prendre. Son nouvel ami de l’hôpital, Arthur Kane, était un véritable as en informatique. Il avait piraté les serveurs d’une école privée dans l’état de New York et avait créé un dossier sur Jennsen. Il avait intégré des petites bêtises mais avait fait en sorte qu’elle puisse entrer dans n’importe quel établissement quand même. Pour tous ceux qui chercheront Jennsen à partir de ce moment là, croiront qu’elle était dans cette école. L’école en question avait été choisie car il y avait tellement d’élèves que s’ils ne se faisaient pas trop remarqués, certains étaient facilement oubliés. La directrice, si on lui demandait de parler de la jeune fille irait regarder le dossier informatique et ne se poserait pas de questions. L’endroit où elle allait aller était un lycée minuscule dans l’état de Washington. Elle savait qu’il lui fallait un temps humide pour être au meilleur de sa forme. Elle savait également que la mère de sa mère habitait dans une bourgade nommée Forks. Sa mère la détestait et c’était la seule personne de la famille que Jennsen n’avait jamais vu. Et elle s’était dit que si elle savait aussi peut de chose sur cette femme, il y avait de forte chance pour qu’elle ne sache pas grand-chose sur elle non plus. Sur sa maladie également. Après lui avoir parlé au téléphone et expliqué que son père était mort et que sa mère était internée, sa grand-mère avait bien voulut l’accueillir chez elle. C’est ainsi que Jennsen arriva à Forks et qu’elle fit son premier jour de lycée dans celui de la ville. Cela fait maintenant quatre ans que la jeune femme est dans ce lycée et qu’elle habite chez sa grand-mère. Personne ne savait qu’elle était malade, et elle faisait bien attention à ce que personne ne le sache. Quand elle se sentait vraiment pas bien, ou qu’elle avait mal quelque part, elle n’allait pas en cours. Les professeurs s’était habitués à ses fréquentes absences, mais comme elle était bonne élève, cela passait. Désormais elle avait le sourire, elle avait des amis, elle allait à l’école, elle aimait faire du shopping, elle mangeait à la cantine, elle avait des devoirs à faire, elle avait un petit boulot pour payer sa fac (même si au fond elle n’en avait pas besoin, elle avait à la banque une petite fortune que lui avait légué son père), elle vivait comme tout le monde. Un de ses rêves s’était réalisé, mais pour combien de temps ?
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Jennsen Taylor
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MessageSujet: Re: Jennsen T.   Jennsen T. Icon_minitimeDim 18 Jan - 19:19

    J'ai terminé! =D
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Evangeline Mac Dowell
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MessageSujet: Re: Jennsen T.   Jennsen T. Icon_minitimeDim 18 Jan - 20:17

Magnifique présentation ! J'aime. <3
C'est original comme histoire, et ça change de celles des humains normaux.
Ça serait bien que quelqu'un s'inscrive en tant que Andrew un jour pour ton histoire. ~
Je valide, tu peux commencer à RP quand tu veux. ^^
Yay ! Enfin une nouvelle présentation validée et terminée, et de plus parfaitement bien écrite. Bravo. =)
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MessageSujet: Re: Jennsen T.   Jennsen T. Icon_minitimeDim 18 Jan - 20:24

    Merci! =D
    J'essaierais de trouver quelqu'un pour faire Andrew... x)
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Eva Coldera
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MessageSujet: Re: Jennsen T.   Jennsen T. Icon_minitimeJeu 29 Jan - 11:03

Enfin, je ne suis plus la seule humaine à Forks.
YOUPI !!!!!

Bienvenue dans le bled le plus humide et paumé du monde...

Je trouve ta présentation super bien écrite et l'histoire est vraiment bien.
Franchement, bravo !

J'espère que nous (ou nos personnages d'aileurs^^) aurons l'occasion de faire plus ample connaissance...
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MessageSujet: Re: Jennsen T.   Jennsen T. Icon_minitimeJeu 29 Jan - 19:25

    Merci Beaucoup! =D
    Je l'espère aussi! ^^
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MessageSujet: Re: Jennsen T.   Jennsen T. Icon_minitime

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